Les tomates du jardin commencent à grossir (mais pas encore à rougir - Il faudra être un petit peu plus patient !). Cette année, je me suis dit que plutôt que de faire grandir les traditionelles tomates cerises, il était peut-être temps de passer à la taille au dessus. J'ai donc acquis des plants de variétés un peu plus différentes. En particulier, de la tomate "coeur de boeuf", qui montre déjà ses formes particulières. J'ai toujours la crainte que la tige ne tienne pas face au poids des tomates, mais pour l'instant tout ce petit monde s'accroche bien !
dimanche, juin 15, 2025
dimanche, juin 08, 2025
Cinéclub - Quand les aigles attaquent
On continue dans les vieux pots avec ce film d'action espionnage de 1968 avec Clint Eastwood. L'intrigue se noue pendant la 2ème guerre mondiale autour d'une opération de sauvetage par le MI6 d'un général américain fait prisonnier dans le château des services de renseignement nazis au milieu des Alpes. Forcément, il y aura des traitres, plusieurs retournements de situation, et beaucoup, beaucoup de victimes du côté de la Vehrmacht.
L'on retrouve un efficace film d'action en milieu alpin, des courses poursuites, des fusillades, des cascades à dos de téléphérique, avec un Clint Eastwood qui fait du Clint Eastwood. Je me demande à quel point ce film n'a pas mis en place tout un tas de poncifs des films d'aujourd'hui. Il y a du James Bond, de l'Indiana Jones, voire du Inglorious Bastards. On retrouve en particulier l'officier de la Gestapo, forcément colérique, forcément charmeur, et forcément méfiant (en même temps, c'était un peu leur boulot...), le château nazi inquiétant, l'auberge remplie de soldats, le héros qui a toujours un coup d'avance. Finalement, le seul défaut que je trouverais à ce film est que la scène d'action finale est vraiment longue, et meurtrière à un niveau qui en devient comique : notre poignée de héros tirent à 2 ou 3 sur des régiments entiers d'allemands qui tombent comme des mouches, alors que le pire qui leur arrive de leur côté est une main blessée pour le personnage principal. Mais sinon, c'est un classique solide et plaisant !
Posted by M87 at 23:09 0 comments
Tags cinema
samedi, mai 24, 2025
Une nouvelle maquette : le Fairey Swordfish de chez Tamiya
On continue dans les avions de la seconde guerre mondiale avec le Fairey Swordfish, avion embarqué britannique qui a eu une longue et glorieuse carrière bien qu'un peu dépassé. On retrouve la précision infernale des modèles de chez Tamiya, avec des mélanges de couleurs un peu dingues et des pièces absolument minuscules avec tout un tas de détails à peindre d´une couleur forcément différente. Mais c'est ça qu'on aime ! J'imagine que les haubans pour attacher les ailes seront particulièrement difficiles à installer. Le fuselage blanc devrait également être intéressant à peindre - Je ne suis pas équippé pour peindre à la bombe, donc je fais tout au pinceau, avec quelques tentatives pour diluer un peu la peinture et obtenir des résultats plus nets.
J'ai commencé la peinture de petites pièces - Rien de très photogénique pour l'instant, mais ça va venir !
Posted by M87 at 10:12 0 comments
Tags model kit
lundi, mai 05, 2025
Une partie d'échecs
Je me suis mis depuis peu un tant soit peu sérieusement aux échecs, et j'ai commencé à jouer quelques parties sur Lichess (excellente platforme au demeurant, j'apprécie particulièrement l'aspect non-commercial et donc l'absence d'offres premium et de notifications en tout genre). Je me suis pris de nombreuses claques et j'ai gagné quelques parties plutôt sur des coups de chance, mais aujourd'hui j'ai eu affaire à un particulier pas banal.
Il joue les blancs, je joue les noirs. Je joue systématiquement la défense moderne (ça fait très pro comme ça, mais c'est la seule défense que j'ai apprise, c'est simplissime et ça marche généralement pas mal, du moins à mon niveau). Au bout de 3 coups, je me rends compte que mon adversaire essaie de me coller un mat du bergerauquel ma position était sensible. Je me protège un peu au dernier moment en catastrophe, puis il s'en va très aggressivement après ma dame. Une fois de plus, je défends d'une manière un peu moche mais je limite les dégats. Et là, abandon !
En regardant un peu l'historique de mon adversaire, je vois qu'il poursuit parfois les matchs jusqu'au bout, mais son monde c'est quand même de tenter le mat du berger et d'abandonner très vite si cela ne lui donne pas un avantage immédiat (ou le mat, évidemment). Dans une partie précédente, le type a eu le culot de demander la nulle alors qu'il venait de sacrifier sa dame en ratant son coup du berger !
Tout cela n'empêche pas mon évolution pitoyable aux abysses du classement. Mais c'est bien plus fun que je ne l'avais imaginé.
Posted by M87 at 23:32 0 comments
Tags echecs
lundi, avril 21, 2025
Cinéclub - Ne Zha 2
Ne Zha 2 est la suite de Ne Zha, film Chinois d'animation reprenant le héros mythologique Ne Zha, jeune garçon né démon au grand coeur. Dans cette suite, le garçon doit partager son corps avec le fils du dragon, son rival dans l'épisode précédent, pour remporter une épreuve céleste et lui permettre de récupérer son propre corps.
Déjà, techniquement, c'est un succès absolu : les graphismes sont magnifiques, les effets d'eau, de surface d'océan, de lave, de fumée, sont tous rendus avec un réalisme époustouflant. L'animation est belle, le design des personnages est très riche, et va des personnages divins très stylisés jusqu'aux caricatures comiques des paysans (étrangement, ce n'est jamais l'inverse). L'on a aussi dragons et monstres marins, avec une mention spéciale pour le combattant requin particulièrement bien fait.
Beau travail sur le sound design également. En revanche, la musique est perfectible - Le riff de guitare électrique lors de la bataille finale m'a semblé un peu décalé.
Mais pour moi, le gros défaut de ce film, c'est le scénario. L'histoire est brouillonne, part dans tout un tas de directions, avec retournements et countre-retournements qui n'apportent pas grand chose. L'on a de nombreux personnages à peine effleurés et dont on a du mal à comprendre les motivations, en particulier le vieux maître sur son bambou, son fils l'enfant léopard et son autre fils (?) le mage au fouet, antipathique mais pas tant que ça (?). On nous fait également un setup de fou sur les frêres de Ne Zha, qui ne servent finalement à rien. Le scénario est donc complètement forcé : Ne Zha accepte d'aider le fils du dragon à retrouver son corps, pourquoi donc lui mettre la pression en le menaçant de détruire sa ville s'il ne réussit pas dans les 7 jours ? Mieux vaut tenter de l'aider ! Pourquoi la mère du héros meurt-elle alors que tous les autres dans le chaudron ont l'air de tenir le coup, personne pour lui filer un coup de main magique ? Cette scène, d'ailleurs, me semble complètement ratée : si l'on a besoin d'un flash-back de 5 minutes pour expliquer à quel point cette disparition est tragique et touche le héros, alors on a complètement raté la mise en place du personnage et des enjeux !
Le ton du film même est brouillon : humour scato et mignons cochons volants d'un côté, meurtres de masse et drames familiaux de l'autre.
Je suppose que de nombreux personnages ou références parlent plus au public chinois : le dieu de la longévité qui prépare ses pillules d'immortalité, la représentation du palais céleste, les elixirs taoistes, les guerriers celestes qui sont en fait des esprits animaux de cerf et de grue (grands classiques que l'on retrouve dans pratiquement chaque chapitre de la "périgrination vers l'ouest").
Finalement, voici un film qui à mon avis aurait gagné à décider ce qu'il voulait être, plutôt que de vouloir tout faire. Un scénario resséré, un arc clair, un humour mieux dosé. Peut-être pour Ne Zha 3 ?
Posted by M87 at 10:24 0 comments
lundi, avril 07, 2025
Cinéclub - Flow
Avec son oscar du meilleur film d'animation 2025, son absence de dialogues, et un développement qui utilise le modeleur 3D Blender, un de mes logiciels favoris, j'avais très envie de voir Flow. Et je n'ai pas été déçu ! C'est un film qui prend son temps, et qui propose parmi de magnifiques décors naturels et urbains une histoire sur la solidarité qui se créé entre 5 animaux, le chat, le capybara, le chien, le singe et l'oiseau, qui tentent d'échapper à une gigantesque montée des eaux dans un monde d'où les humains ont disparu.
Le parti pris esthétique a un côté presque impressioniste, avec des à-plats de couleurs plutôt que de rechercher l'hyper-réalisme. Ajouté aux détails foisonnants de la végétation, aux couleurs des poissons, à l'eau glauque dans laquelle le chat tombe un peu trop souvent à son goût, c'est une claque graphique tout à fait remarquable. Le travail d'animation est également excellent, et les mouvements du chat et des autres animaux semblent naturels et realistes.
L'histoire avance assez lentement, et les adolescents biberonnés à Tik Tok pourraient trouver le temps long. Il faut se laisser porter par le film, qui commence lentement avec un rythme plus contemplatif, et accélère au fur et à mesure des péripéties de nos animaux.
Le film est bourré de symbolismes et de références bibliques (difficile d'échapper au mythe de l'arche de Noé quand on a des bestioles sur un bateau alors que le monde est englouti). Il est intéressant de tenter de décrypter l'arc de chaque animal, en partant de ce qu'il représente, ainsi le chat solitaire qui construit doucement une amitié, le singe narcissique qui amasse tout un tas d'objets inutiles et passe son temps à se contempler dans son miroir, le chien joyeux et joueur mais dissipé, et vers quoi il évolue, c'est à dire une amitié durable et forte. Plus mystérieux sont le capybara tout d'abord, qui est l'animal généreux et sociable qui accepte tout le monde, mais pour lequel il ne semble pas y avoir d'arc narratif, et enfin l'oiseau, archétype de la sagesse, qui protège le chat, et semble savoir exactement où il veut aller et pourquoi. L'aboutissement de sa quête est particulièrement énigmatique, je l'ai compris comme un sacrifice pour faire redescendre les eaux, mais pourquoi, comment, et vers qui (une divinité ? mais dans quel but ?).
Enfin, l'absence totale de dialogues est magistralement compensée par les bruits des animaux, leurs expressions et leur langage corporel, le tout servi avec de la belle musique. Un bon moment !
Posted by M87 at 23:04 0 comments
Tags cinema
mercredi, avril 02, 2025
Cinéclub - Intouchables
Celui là, je l'avais complètement oublié, et c'est en le voyant bientôt sorti de Prime que je me suis dit que c'était l'occasion ou jamais. Ça m'a beaucoup plu, très français dans sa manière de mélanger comédie et drame, et de présenter des personnages épais, qui ont une histoire, des défauts, mais surtout une grande humanité. Pas de chichis dans la mise en scène, mis à part la prolepse initiale (c'est comme ça qu'on appelle un flash forward en bon français, apparemment), qui pose immédiatement la grande complicité qui unira rapidement les deux personnages. En revanche, les dialogues sont ciselés. "Le mec il a saigné du nez sur un fond blanc et il demande 30.000 euros", "Il peint???"... Un bon moment !
Posted by M87 at 22:43 0 comments
Tags cinema
vendredi, mars 21, 2025
Cinéclub - Les dents de la mer
Mieux vaut tard que jamais, voilà un grand classique dont je connaissais l'histoire et tout plein de citations ("We're gonna need a bigger boat!") sans pourtant l'avoir jamais vu. C'est maintenant chose faite. L'on voit bien comment ce film a pu devenir culte, enfilant juste assez de clichés pour le rendre parfaitement digeste (personnage principal au grand coeur héros malgré lui, politicien à courte vue, étudiants bourrés...) et des scènes de très bonne tension, vue des nageurs par en dessous, la musique qui ponctue l'arrivée du requin, et toute la scène finale de chasse au squale.
J'ai trouvé les effets spéciaux encore tout à fait regardables pour un film qui a quand même 50 ans, et c'est probablement la surprise principale du film : il a très bien vieilli. Bien qu'ancré dans son époque, il ne dépareille pas, et mis à part les coins de la bouche du requin qui se plient de manière un peu caoutchouteuse, c'est une bestiole tout à fait terrifiante qui s'enfile quand même pas mal de monde.
Posted by M87 at 22:45 0 comments
Tags cinema
mardi, mars 18, 2025
Cinéclub - Conclave
Voilà un film que j'avais très envie de voir : un thriller au vatican, qui imagine l'élection d'un nouveau pape dans un contexte particulièrement chargé. Au menu, luttes de pouvoir, coups bas et ambitions sans bornes.
Ultra-nominé et récompensé une fois aux Oscars, c'est tout d'abord un film magnifique, car l'endroit et l'événement se prête aux belles images : clairs obscurs, jeux de lumière, belles architectures et perspectives magnifiques. Très beau travail de la couleur également avec les costumes rouge sang des cardinaux.
C'est enfin un film qui, sur un événement qui sur le principe me touche assez peu, m'a passionné : qui va l'emporter ? Quels secrets cachent les personnages ? Les plus modestes le sont-ils vraiment, est-ce que chacun, même s'il s'en défend, se prend quand même à s'imaginer pouvoir devenir l'homme le plus puissant de la chrétienté ?
Hui-clos magistral, j'en redemande des comme ça !
Posted by M87 at 14:17 0 comments
Tags cinema
dimanche, février 16, 2025
Cinéclub - Douze hommes en colère
Encore un classique à rattraper, encore une belle expérience. Voilà un très beau film, très académique en un sens avec son unité de lieu, de temps et d'action, et en même temps du très beau cinéma et un message qui fait du bien en ces temps troublés. L'histoire, on la connaît : douze jurés se retrouvent dans une pièce pour prendre une décision à l'unanimité sur un parricide où l'affaire semble complètement claire et le suspect clairement coupable. Pourtant, parmis les jurés, un homme croit, non pas à l'innocence, mais au doute raisonable. Petit à petit, il arrive à convaincre les autres jurés que l'affaire n'est pas si claire, et l'acquitement est prononcé.
Ce qui rend ce film très fort, c'est la démonstration de l'intelligence des foules : ces jurés viennent de différents milieux, ont des âges différents, et chacun apporte un éclairage différent sur la situation, et c'est ensemble qu'ils finissent par se mettre d'accord. Ainsi, le vieux juré comprend les motivations et les biais des témoins eux-mêmes âgés, le juré qui vient d'un milieu misérable et violent permet de décortiquer le coup de couteau, le banquier timide évoque les menaces proférées sans y croire, et le juré étranger naturalisé respecte plus la démocratie et le droit que certains jurés "de souche".
C'est un film météorologique, aussi - On transpire avec eux, on frissonne avec eux quand l'averse finit par tomber - L'atmosphère, étouffante, finit par s'éclaircir lorsque le doute finit par triompher.
Posted by M87 at 22:57 0 comments
Tags china
dimanche, février 09, 2025
Cinéclub - Whiplash
Whiplash est l'histoire d'un jeune batteur de jazz très ambitieux, aux prises avec un chef d'orchestre tyrannique. Le film soulève la question de la recherche de perfection, et des moyens utilisés pour y parvenir. C'est en étant abusif et brutal que le chef d'orchestre espère (du moins le prétend-il) découvrir, ou même créer, le prochain génie du Jazz, avec en filigrane l'histoire vraie de Charlie Parker qui avait raté un solo pris beaucoup trop vite et avait du quitter la scène, humilié, pour s'entraîner seul pendant un an et revenir transformé.
L'on passera quelques invraisemblances (les blessures à la main du batteur, la vengeance complètement hors sol du chef d'orchestre). Il y a peut-être aussi une petite facilité scénaristique qui consiste à se focaliser uniquement sur l'enjeu d'une tenue d'un tempo endiablé, en laissant de côté d'autres aspects techniques du métier de batteur. Le but du héros d'être le meilleur batteur du monde semble également en décalage, on ne le voit pas apprécier particulièrement la musique, et son intérêt semble porter uniquement sur la performance technique et athlétique.
Mais en revanche, quelle maîtrise dans la mise en scène et le montage ! Pas étonnant qu'il ait reçu tout un tas de récompenses dans la catégorie. La scène de début, quand le héros s'entraîne seul, et que le chef d'orchestre entre dans la salle de répétition, est saisissante : la caméra est en vue subjective du point de vue du chef d'orchestre, et le héros semble tout d'un coup nous remarquer, lever la tête, s'arrêter, et s'excuser. La scène de l'accident de voiture est également une séquence choc, c'est le cas de le dire, et m'a fait sacrément sursauter. Enfin, la dernière scène est magnifique, avec des mouvements et des placements de caméra tout à fait remarquables, et qui accompagnent la musique au plus près. Cela rend les scènes de musique incroyablement dynamiques, au point qu'on en oublie de respirer.
Il y a également une manière plutôt différente de filmer la musique : là où beaucoup de films proposent une vision romantique du musicien en extase et ne faisant qu'un avec son instrument, on voit ici toute la difficulté du travail de répétition, de l'angoisse et du stress, de la compétition féroce entre musiciens.
Et c'est finalement la grande question du film : est-ce que la fin justifie les moyens ? Est-ce qu'un professeur peut tout se permettre si cela transcende l'élève et lui permet de se dépasser, et tant pis pour les pots cassés et ceux qui n'ont pas pu suivre et qui sont détruits ? À cette question, le film semble finir par répondre oui, ce qui me met mal à l'aise : je reste convaincu que des génies peuvent émerger d'un enseignement respectueux et attentif. Et si l'on rate un ou deux génies parce que l'on a pas voulu tout sacrifier, peut-être est-ce mieux ainsi.
Posted by M87 at 23:25 0 comments
Tags cinema
dimanche, février 02, 2025
Le brookie
On fait dans le pas léger avec ce "brookie", qui est donc un mélange de brownie et de cookie. L'idée, c'est de faire un brownie, et d'y déposer, dessus, et aussi pourquoi pas dedans, des morceaux de pâte à cookie. C'est évidemment plutôt lourdingue, et au final, même si ce n'est évidemment pas mauvais, la partie cookie n'apporte pas grand chose : finalement, autant manger, séparément, des brownies et des cookies plutôt que de tenter de les marier contre leur gré.
Posted by M87 at 23:57 0 comments
mardi, janvier 21, 2025
Cinéclub - Lawrence d'Arabie
Voici un film que j'avais envie de voir depuis longtemps ! Classique parmis les classiques, l'histoire de Lawrence d'Arabie, controversé officier de l'armée britannique qui a aidé les tribus arabes à s'unir durant la première guerre mondiale. Complètement mégalo et persuadé d'être un nouveau prophète, il permettra d'importantes conquêtes militaires contre les turcs.
C'est un film épique dans tous les sens du terme. Très long (plus de 3 heures), présentant de formidables paysages désertiques et de grandes scènes de bataille, autant que les tourments de son personnage principal, à la fois séduit et dégoûté par les horreurs de la guerre, et à l'équilibre mental parfois perturbé. J'ai surtout apprécié ces grandes cavalcades à dos de chameau dans ces paysages de roc et de sable, ainsi que ces histoires d'amitiés viriles (très viriles - il n'y a pas une seule femme au générique !) entre ces cultures si différentes. Le film contient plein de bonnes idées de réalisation - Une qui m'a particulièrement marquée est la direction des expéditions et des batailles : toujours de gauche à droite. Et à la fin, quand Lawrence prend enfin le chemin du retour, pour la première fois, on le voit passer de droite à gauche...
Il me reste encore quelques classiques à explorer. Peut-être "12 hommes en colère"?
Posted by M87 at 22:58 0 comments
Tags cinema
dimanche, janvier 05, 2025
Bonne année !
Bonne année à tous ! Au menu de cette année, plus de photos de trucs à manger, des fiches de lecture, et des fiches cinoche !
Posted by M87 at 10:58 0 comments