Mardi 17. Je commence à comprendre comment la ville est agencée, et en tentant un chemin plus court, je tombe sur un Starbucks! Qui accepte la Biza cald! Mais attention, même au Starbucks, Tokyo reste Tokyo, et l'on m'a servi mon thé dans un beau sac, dans lequel était monté un petit établi en carton permettant de tenir le gobelet, plus un gobelet supplémentaire vide, pour y déposer le sachet de thé. Je mange sur le chemin du boulot, mais je crois avoir fait là un faux-pas culturel, parce qu'apparemment, je suis le seul. Il serait donc impoli de manger dans la rue?
Pour les restos, je commence également à comprendre le truc: chaque bâtiment du centre ville contient un centre commercial sur quelque chose comme 3 étages et 2 sous-sols, dans lesquels on trouve principalement à manger ou à boire. À l'entrée des bâtiments, il y a donc de grandes affiches avec la liste des restos et une photo montrant le genre de nourriture à laquelle l'on peut s'attendre. Il suffit donc de se laisser porter! Au niveau des restaurants eux-mêmes, l'on voit souvent dans la vitrine les représentations des plats en plastique. C'est simple, il suffit de montrer au serveur ce dont on a envie.
Le soir, c'est les drinks entre collègues. Contrairement aux manières britanniques, ici, l'on commande toujours quelque chose à manger pour accompagner les bières, et le serveur apportera des verres d'eau à la fin. Nous passons ensuite au Rock & Roll coffee s'envoyer quelques shots de Tequila, et finissons par un grand bol de nouilles, l'équivalent local du Kebab londonien.
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