mardi, août 12, 2025

Pseudo Poke maison

Puisque la mode est au Poke bowl, j'ai décidé d'en faire ma version rapide et efficace. Je vous présente donc le Poke minimaliste, avec semoule, tomates, avocat, concombre, comté, noix de cajou, sel, poivre, huile d'olive.

Pas de cuisson nécessaire, juste un peu de découpe, et un peu d'eau chaude pour le couscous. C'est frais (une fois le couscous refroidi !), agréable, et raisonablement équilibré. Pour la prochaine fois, il va falloir varier un petit peu pour éviter que la lassitude s'installe.

dimanche, août 03, 2025

La Crête

Je reviens de vacances en Crête - Quel endroit magnifique ! Je rêvais d'eaux turquoises et transparentes (oui, les 2 en même temps !), et je n'ai pas été déçu. Il y a des poissons partout, il fait chaud sans que cela soit oppressant, et sauter dans la mer est un plaisir constant. Dans l'arrière pays, ce sont des paysages rudes et sauvages, avec quelques chêvres pour l'ambiance.

Particulirèrement apprécié la plongée sous-marine (un vieux rêve !), et la partie de pêche sur un bâteau avec un groupe de touristes (et d'hôtes !) sympas.

dimanche, juillet 20, 2025

Une bien belle maquette de piano

J'assemble une maquette de piano de chez Rokr. C'est du bel ouvrage ! Détrompeurs de partout, pièces en surnombre pour parer à la casse car c'est parfois fragile, précision diabolique, et vraiment tout inclus : c'est tellement plaisant de se laisser porter par les instructions et de monter petit à petit cette boite à musique pleine de petits mécanismes sympathiques. Les touches bougent, on a une sorte de bouquet de fleurs qui tourne, c'est juste charmant.

Par rapport à mon Swordfish de chez Tamiya, c'est surtout l'absence de préparation qui permet de ne s'y mettre que pour quelques minutes. On sort les planches de bois sur un coin de table, on reprend les instructions là où on en était, et bim, on détache, on emboîte. La maquette zen, quoi.

dimanche, juin 15, 2025

De grosses tomates

Les tomates du jardin commencent à grossir (mais pas encore à rougir - Il faudra être un petit peu plus patient !). Cette année, je me suis dit que plutôt que de faire grandir les traditionelles tomates cerises, il était peut-être temps de passer à la taille au dessus. J'ai donc acquis des plants de variétés un peu plus différentes. En particulier, de la tomate "coeur de boeuf", qui montre déjà ses formes particulières. J'ai toujours la crainte que la tige ne tienne pas face au poids des tomates, mais pour l'instant tout ce petit monde s'accroche bien !

dimanche, juin 08, 2025

Cinéclub - Quand les aigles attaquent

On continue dans les vieux pots avec ce film d'action espionnage de 1968 avec Clint Eastwood. L'intrigue se noue pendant la 2ème guerre mondiale autour d'une opération de sauvetage par le MI6 d'un général américain fait prisonnier dans le château des services de renseignement nazis au milieu des Alpes. Forcément, il y aura des traitres, plusieurs retournements de situation, et beaucoup, beaucoup de victimes du côté de la Vehrmacht.

L'on retrouve un efficace film d'action en milieu alpin, des courses poursuites, des fusillades, des cascades à dos de téléphérique, avec un Clint Eastwood qui fait du Clint Eastwood. Je me demande à quel point ce film n'a pas mis en place tout un tas de poncifs des films d'aujourd'hui. Il y a du James Bond, de l'Indiana Jones, voire du Inglorious Bastards. On retrouve en particulier l'officier de la Gestapo, forcément colérique, forcément charmeur, et forcément méfiant (en même temps, c'était un peu leur boulot...), le château nazi inquiétant, l'auberge remplie de soldats, le héros qui a toujours un coup d'avance. Finalement, le seul défaut que je trouverais à ce film est que la scène d'action finale est vraiment longue, et meurtrière à un niveau qui en devient comique : notre poignée de héros tirent à 2 ou 3 sur des régiments entiers d'allemands qui tombent comme des mouches, alors que le pire qui leur arrive de leur côté est une main blessée pour le personnage principal. Mais sinon, c'est un classique solide et plaisant !

samedi, mai 24, 2025

Une nouvelle maquette : le Fairey Swordfish de chez Tamiya

On continue dans les avions de la seconde guerre mondiale avec le Fairey Swordfish, avion embarqué britannique qui a eu une longue et glorieuse carrière bien qu'un peu dépassé. On retrouve la précision infernale des modèles de chez Tamiya, avec des mélanges de couleurs un peu dingues et des pièces absolument minuscules avec tout un tas de détails à peindre d´une couleur forcément différente. Mais c'est ça qu'on aime ! J'imagine que les haubans pour attacher les ailes seront particulièrement difficiles à installer. Le fuselage blanc devrait également être intéressant à peindre - Je ne suis pas équippé pour peindre à la bombe, donc je fais tout au pinceau, avec quelques tentatives pour diluer un peu la peinture et obtenir des résultats plus nets.

J'ai commencé la peinture de petites pièces - Rien de très photogénique pour l'instant, mais ça va venir !

lundi, mai 05, 2025

Une partie d'échecs

Je me suis mis depuis peu un tant soit peu sérieusement aux échecs, et j'ai commencé à jouer quelques parties sur Lichess (excellente platforme au demeurant, j'apprécie particulièrement l'aspect non-commercial et donc l'absence d'offres premium et de notifications en tout genre). Je me suis pris de nombreuses claques et j'ai gagné quelques parties plutôt sur des coups de chance, mais aujourd'hui j'ai eu affaire à un particulier pas banal.

Il joue les blancs, je joue les noirs. Je joue systématiquement la défense moderne (ça fait très pro comme ça, mais c'est la seule défense que j'ai apprise, c'est simplissime et ça marche généralement pas mal, du moins à mon niveau). Au bout de 3 coups, je me rends compte que mon adversaire essaie de me coller un mat du bergerauquel ma position était sensible. Je me protège un peu au dernier moment en catastrophe, puis il s'en va très aggressivement après ma dame. Une fois de plus, je défends d'une manière un peu moche mais je limite les dégats. Et là, abandon !

En regardant un peu l'historique de mon adversaire, je vois qu'il poursuit parfois les matchs jusqu'au bout, mais son monde c'est quand même de tenter le mat du berger et d'abandonner très vite si cela ne lui donne pas un avantage immédiat (ou le mat, évidemment). Dans une partie précédente, le type a eu le culot de demander la nulle alors qu'il venait de sacrifier sa dame en ratant son coup du berger !

Tout cela n'empêche pas mon évolution pitoyable aux abysses du classement. Mais c'est bien plus fun que je ne l'avais imaginé.