samedi, novembre 04, 2006

Ah, le luxe, une fois qu'on s'y fait, c'est difficile de s'en passer.

C'est ainsi que j'ai fait connaissance de la classe affaire sur un vol Londres Sydney.

Je me suis donc retrouvé dans un siège dirrigé vers l'arrière (il parrait que c'est mieux en cas de crash, je suis content que l'on n'aie pas tenté l'experience), avec un petit strapontin pour étendre mes pieds, ma télé perso, une hotesse qui me propose du champagne, et un journal (j'ai pris le Financial Times, pour ne pas faire tache). On choisit ensuite son menu, et on regarde tranquillement son film. Et c'est là que tout bascule. Enfin, le siège. On est carrément **couché**... Je ne m'en suis toujours pas remis. Quand au Lounge de l'aéroport de Singapour, j'aurais bien échangé leur salle de bains contre la mienne! Je ne parle même pas de la file spéciale qui permet d'embarquer avant tout le monde.

Mon retour se fera dans la soute. Enfin, tout comme. Sic transit (intestinal)...


Once a life of luxury is started, it is very hard to come back from it.

I discovered Business Class on a London Sydney flight.

I found myself in a comfortable seat, looking backward (it is supposed to be better in case of a crash, I am quite happy that I did not have to experiment), with my own TV, and a flight assistant giving me a glass of champagne, and asking me if I wanted a newspaper (I took the Financial Times, in order to be in the mood). I then choosed my meal in the menu, and ate while watching my movie. And that's the moment when I discovered that the seat actually transforms into a bed, allowing me to sleep in a fully horizontal position! And the Lounge at Singapore Airport... I'd swap my bathroom with their anytime. And I won't even mention the special line to embark on the plane before the pleb.

My way back will be in the hold. Or likewise. Back to reality...

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Ouaip, la business, c'est la classe.
Tu as eu le droit aux prostituées polonaises?