dimanche, juin 26, 2011

Enfin, les tickets!

Je suis donc l'heureux détenteur de tickets pour les jeux olympiques de 2012, pour les demi-finale femmes de tennis de table, et pour la finale de natation synchronisée. Ça valait le coup de se lever tôt. Le timing a été le suivant:

06:00: Je rafraîchis la page Web pour sélectionner mes tickets
06:03: Je confirme ma commande
06:04: Le site web devient inaccessible, croulant sous les demandes.

Épique.


At last, tickets!

I'm now the happy owner of London 2012 Olympic tickets for the women table tennis semi-finals, and for the synchronised swimming final. It was worth getting up early.

The timing was as follows:

06:00: I refresh the page to select my tickets
06:03: I confirm my order
06:04: The website becomes unavailable, crushed under the demand.

Epic.

lundi, juin 20, 2011

Après tout ce temps, je n'étais toujours pas allé au zoo de Londres. C'est maintenant chose faite, et l'endroit est tout à fait intéressant. Peut-être une tendance générale des zoos, il y a une attention particulière envers la protection des espèces menacées, et une certaine spécialisation: ainsi, le zoo de Londres ne possède que 5 fauves: 3 lions indiens (eh oui!) et 2 tigres. En revanche, ils ont deux dragons de Komodo, des tortues des Galapagos, et une collection tout à fait remarquable de poissons et de reptiles.


After all this time, I still had not been to the London zoo. That's now done, and the place is very interesting. Maybe a general trend in zoos, there is a very strong attention toward protection of endangered species, and a certain specialisation: the London zoo has only 5 big cats: 3 Indian lions, et 2 tigers. On the other hand, they have got 2 Komodo dragons, Galapagos turtles, and a very impressive collection of reptiles and fishes.






samedi, juin 18, 2011

Enfin des nouvelles de mes tickets pour les jeux olympiques de Londres. C'est bien facile: je n'ai rien eu. Apparemment, Boris, le flamboyant maire de Londres, non plus, ce qui me remonte le moral (bien que je ne doute pas qu'il ait quelques places réservées en tribune officielle pour les cérémonies d'ouverture et de fermeture).

Le deuxième tour, pour lequel ceux qui comme moi sont revenus bredouille, commencera le 24 Juin à 6h du matin, pour allouer les tickets restants. Je me suis donc plongé dans la liste des tickets disponibles. Bien entendu, la plupart des finales sont déjà complétement parties. Les sports les plus populaires ont été ravagés: tout a été vendu pour la gym, presque tout a été vendu pour l'athlé. Étrangement, le water polo et le tir sont également complets.

Que reste-t-il, donc?

Quelques demi-finales, de très rares finales comme par exemple les doubles en natation synchronisée, la boxe, et la lutte. Est-ce cathartique que d'aller voir des types se taper sur la tronche après s'être battu pour avoir des places?

mercredi, juin 08, 2011

Encore des histoires de gogues.

Ben oui, figurez vous que j'ai l'abattant de chiottes le plus bête du monde. Ou plus spécifiquement, l'endroit où l'on attache le plastique à la faïence.

En effet, dans la plupart des coins d'aisances dignes de ce nom, la vis au niveau de la charnière de l'abattant traverse la faïence sur quelques centimètres, avant qu'un creux bien placé à l'extérieur de la cuvette ne donne accès à l'autre bout afin d'y accoler un écrou, l'idée générale du mécanisme étant de s'assurer de la stabilité de l'ensemble afin de parer aux pires contorsions du postérieur.

Mais mes ouatères à moi, non. La vis plonge dans la matière, mais n'en ressort point, pas de creux bien placé, rien qu'un volume lisse et uniforme réfléchissant ma perplexité.

Résultat, quand l'abattant a rendu l'âme, je me suis retrouvé fort dépourvu.

Heureusement, j'ai alors découvert le monde merveilleux du "top fixing". J'explique: la vis s'insère dans une cheville de caoutchouc, laquelle s'élargit à la base. En serrant la vis, la partie plus large s'écrase de l'autre côté, et maintient l'ensemble. Magique. Et donc, il existe une petite sélection d'abattants qui débarquent avec le kit "top fixing", compatible donc avec l'endroit si nécessaire.

La commande passée, et le magnifique objet reçu, il me restait à démonter ce qui restait de l'ancêtre. La vis droite avait totalement perdu sa charnière. Je pris donc une clé, et commençais à dévisser la vis mangée de rouille. Mais la stupide cheville tournait avec!

J'ai tout essayé. Maintenir la cheville avec un tournevis, ou tirer dessus comme un sourd. J'échafaudais les plans les plus fous, comme de me munir d'une scie à métaux, ou de détruire le caoutchouc à l'aide d'un burin. Dans une dernière tentative de conciliation, j'essayais encore une fois, avec le tournevis cette fois ci. La cheville s'enfonça doucement, et bientôt disparut à l'intérieur, la poussière de rouille seule témoin des efforts que je venais de produire.

La vis gauche avait encore sa charnière, ce qui rendait l'épreuve différente: impossible de la pousser. Un peu de casse, et hop, elle put suivre sa coreligionnaire.

Qui chantera les surprises du plombier qui, démontant une cuvette, trouve à l'intérieur les vestiges de son histoire tortueuse!