samedi, juin 19, 2010

J'ai pu mettre la main sur le Sony DSCW320B Cyber-shot, un petit compact (c'est dire!) bourré de trucs intelligents.



La fonctionnalité la plus bluffante est le détecteur de sourire: l'on a une petite jauge qui monte et descend au fur et à mesure que le modèle sourit ou fait la gueule. Une limite configurable déclenche la prise lorsqu'elle est dépassée. Des heures de fun en perspective: l'on tient l'appareil, demande au sujet de sourire, et paf, c'est pris!

Le système remplace avantageusement le minuteur (présent par ailleurs), puisque l'on peut simplement poser l'appareil, aller de l'autre côté, et se fendre la pêche. Clac! Pour les groupes, il faudra un petit peu de synchronisation. L'appareil semble faire une moyenne des sourires (quel concept), donc on pourrait se retrouver avec quelques tronches au milieu de groupes en joie.

La qualité, lorsque le soleil est présent tout du moins, est tout à fait remarquable, et je distingue à peine à l'œil la différence avec mon bridge.

L'utilisation en est simplissime, l'appareil détecte tout seul de quel type de scène il s'agit. C'est la plus simple expression du concept "Point & Shoot".

Petit jeu: voici 3 photos de la même scène, prises à quelques minutes d'intervalle (certes, la luminosité a changé un peu), avec 3 appareils: le compact Sony, le bridge Panasonic, et l'appareil photo intégré d'un téléphone portable HTC. La photo a été prise, puis réduite en 800X600. Saurez vous retrouver quel appareil a pris quelle photo?





Réponse et commentaires dans le prochain post.

2 commentaires:

Julien a dit…

Dans celle du milieu, le fort contrast est tres mal gere. La 1ere est un peu surexposee, la derniere est probablement ce qu'on peu faire de mieux sur une scene delicate. Donc je dirais: Sony, HTC, Panasonic.

M87 a dit…

Yay, bravo :)

Peut-être que je suis parano, mais je soupçonne l'électronique du Sony d'améliorer un peu les couleurs, de les rendre plus "éclatantes", ce qui est exactement ce que l'on veut pour ses photos de vacances. Tandis que le bridge, lui, nous renvoie à la blême réalité :)